mercredi 23 juillet 2008

Restons branché

J'ai reçu cette semaine le premier exemplaire de mon abonnement au magazine Wired. Cela fait un bout que je recherche un bon magazine technophile me permettant ainsi de continuer à être à jour même lorsque je ne peux être présent devant mon ordinateur. Et oui, je trouve encore pertinente en 2008 l'existence des magazines en format papier malgré l'information quasi infinie offerte gratuitement sur le Web. Wired a d'ailleurs fait un petit clin d'œil à ce sujet ce mois-ci :

"You still read stuff printed on paper? Are you Amish?"

Néanmoins, il est encore nécessaire pour moi de tenir entre mes mains des documents papier, de pouvoir survoler à la première acquisition d'un magazine page après page tout en situant les articles et les images intéressantes, pour enfin tout relire. Mais je soupçonne que la raison primaire de cette nécessitée est associée à l'odeur du papier nouvellement imprimé du magazine. Hummm...

Il est évident que les magazines et les journaux ont reçu un dur coup après la venue du Web au grand public. Je me rappelle, dans mon jeune temps, qu'on avait annoncé la venue des journaux numérisés offerts directement dans le
Videoway. Même jeune, je croyais que les journaux en format papier allaient complètement disparaître de la société. Mais j'ai eu tort. Ils sont restés et sont encore très forts. Ils ont tous simplement réagi vite à la menace approchante : soit en donnant des exclusivités au magazine, des primeurs, etc. Même qu'une technologie qui ne vient pas d'hier a finalement trouvé preneur permettant ainsi de réinventer la roue : le e-ink va bientôt être sur les tablettes en magasin par le biais du magazine Esquire.

Une alternative au magazine a été amenée par
Amazon l'an dernier en rendant disponible au grand public un tout nouveau gadget e-book (Kindle) permettant exclusivement la lecture de textes électroniques. Ce produit n'apporte rien de vraiment nouveau si on le compare aux produits tels que les Blackberry, les Palm, les iPhone et tout le reste. Cependant, la principale différence avec les autres est qu'il ne sert qu'à cela. J'en connais encore beaucoup qui détestent la venue des derniers modèles de cellulaires qui font à peu près tout sauf aboyer et apporter les pantoufles.

Évidemment (je sais que j'en parle souvent, mais c'est maintenant rentré dans ma routine), pour être à jour avec le vrai monde, rien de mieux que les flux RSS. Je ne veux pas en faire l'éloge ici, mais j'ai l'impression grâce à ce moyen de vraiment suivre à la minute près les sujets qui me passionnent et qui sont pertinents pour moi. C'est surtout le principe de personnalisation de l'information que j'admire. D'ailleurs, il y a quelques sites Web où l’on propose de générer un
flux RSS personnalisé bâti à partir de la banque de données du site Web (ex. : Gametrailer.com). Et saviez-vous que ce format a été inventé en 1995? Surprenant non? La majorité des outils informatiques modernes proviennent du début du Web. On ne réinvente rien, on crée tout simplement des modes.

On m'a parlé cette semaine d'un site Web (merci LC) qui distribue le contenu intégral de la grande majorité des magazines offerts à travers le monde en format numérisé. Est-ce légal me demandez-vous? Je vous répond donc non. Il faut alors maintenant se demander ce que sera la durée de vie de ce site Web-là... Peut-être que l'auteur a eu la même idée que
QuebecTorrent en positionnant leur contenu sur un serveur situé en Malaisie...

Sur ce, je retourne à mes activités ancestrales... la lecture.

Et continuez de remplir votre profil Web pour que je puisse en faire l'analyse. Et merci à tous ceux qui l'ont déjà fait.

vendredi 18 juillet 2008

Moment nostalgique

1995 est l'année pour moi où j'ai découvert le Web. Il me semble que tout était plus simple à cette époque-là...
  • Rappellez-vous du moteur de recherche Yahoo.fr parce que la page Yahoo.ca n'était pas disponible en français.
  • Rappellez-vous du temps où il fallait entrer le nom du site Web à bras dans la barre URL pour économiser du temps.
  • Rappellez-vous du temps où il fallait faire une demande aux moteurs de recherche pour faire parti de leur base de données.
  • Rappellez-vous du temps où le titre des pages Web pouvait contenir le mot « Page ».
  • Rappellez-vous de ceux qui se ventaient du nombre de chiffres dans leur identifiant ICQ.
  • Rappellez-vous du temps où on se demandait ce que signifiait lol, omg, wtf, rotf et a/s/v.
  • Rappellez-vous de l’époque Napster et le temps interminable que cela pouvait prendre pour télécharger une chanson.
  • Rappellez-vous le moment où l'alternative évidente à Hotmail était Caramail.
  • Rappellez-vous du temps où Netscape était le roi des navigateurs Web.
Mais cette dernière pensée m'a resté perplexe. Quel est le sort de Netscape en 2008? Il est évident que la poursuite contre Microsoft n'a pas dû aider à leur situation. Je crois que cela a plutôt amené une énorme publicité au navigateur Internet Explorer.

J'ai alors investigué sur le sujet, et qu'elle a été ma surprise d'apprendre que Netscape est officiellement
mort. Non! Et voilà que toute ma jeunesse vient de disparaître à jamais! Ils ont décidé de ne plus offrir de support à partir de mars dernier.

14 ans après la venue de
Netscape Navigator 1.0, où en sommes-nous rendu? Et là, nous avons la théorie du Web 2.0 qui s'amène. Je n’embarquerai pas là-dedans, car elle n’est qu’une théorie pour diviser l’univers du Web en époques. Étant donné qu’il n’y a rien d’officiel à ce jour, alors voici la mienne :

L’Internet évolue selon les droits d’accès à un fichier.


Web 1.0 :
~1994-1998 : Lecture seulement (Read)
Le lecteur n'a aucune interactivité avec le site Web.


Web 2.0 : 1998-2003 : Lecture et écriture (Read/Write)
Le lecteur participe à l’avancement du site Web avec soit des commentaires (blogue) ou soit des ajouts ou modification d’information (
wikipédia).

Web 3.0 :
2003-aujourd’hui : Lecture, écriture et exécution (Read/Write/Execute)
Non seulement il y a interactivité entre le site Web et le lecteur, mais le site est également utilisé comme une application à part entière (la suite Adobe Web, Google Docs, Google Gears, etc.).

Et pour ceux qui veulent savoir s'il y avait un prédécesseur public à l'Internet, je vous dit oui, et il se nomme le Minitel (disponible en France en 1991).

Aujourd’hui, nous avons beaucoup "trop" de choix à ce qui a trait aux outils informatiques. Même que les choix que nous faisons auraient certainement un lien avec notre personnalité. Je crois qu’il serait intéressant ici d’élaborer un
profil techno qui permettrait ainsi de nous classer selon notre type d’usager. Je vous invite alors à dresser votre profil dans les commentaires si vous le désirer. Je crois que cette expérience pourrait être très enrichissante pour nous tous. Et si vous répondez en grand nombre, je ferai une suite à ce post. Hourra!

Mon Profil Techno
  • Type d’ordinateur : PC
  • Système d’exploitation : Windows Vista Professionnel 64-bits
  • Navigateur Web : Mozilla Firefox
  • Moteur de recherche : Google
  • Boîte de messagerie électronique : Gmail
  • Messagerie instantanée : Windows Live Messenger Plus!, Google Talk, Pidgin
  • Lecteur audio : iTunes
  • Lecteur vidéo : Windows Media Player
  • Lecteur de Flux RSS : Oui, Google Reader

dimanche 13 juillet 2008

Idées de génie

On a tous chacun de son bord des idées ou des flashs que l’on croit révolutionnaires. C’est une chose très normale chez l’homme moderne et cela doit en rester ainsi. Cependant, peu parmi ces idées deviendront un projet, et encore moins d’entre eux deviendront un produit fini. Mais une chose encore plus fâcheuse est d’apprendre que l’idée de génie que nous venons d’avoir est déjà inventée.

Ce qu’il faut se demander est la raison pour laquelle nous abandonnons ces idées qui auraient pu nous amener vers une réputation internationalle ou même être excessivement lucratif, qui sait. On connaît pourtant déjà tous les facteurs qui nous mènent vers l’échec ou l’abandon de notre idée : le temps, l’argent, la motivation, l’énergie que cela peut demander, le doute, la pertinence de l’idée, l’oublie, …

Ok. On est tous en commun accord qu’il n’y a pas de capsules magiques qui soigneraient tous ces problèmes. Mais il doit quand même y avoir une solution à ce que ces idées ne disparaissent pas à jamais, n’est-ce pas? En fait, nous n’avons pas à chercher bien loin. Une des solutions à déjà été trouvé par les créateurs du moteur de recherche le plus utilisé au monde (plus de 50% des terriens).

Et oui, Google, Inc. encourage énormément la production de projets personnels. Ils réservent même dans l’horaire de leurs employés une case réservée pour le développement créatif. Les employés doivent ainsi créer de nouveaux outils durant leurs heures de travail afin d’innover dans ce monde tellement mouvementé qu'est l'informatique. Personnellement, le moment où les idées me viennent le plus souvent est en plein jour de travail où je m’en attends le moins.

C’est évident que Google exploite en quelque sorte la créativité de leurs employés, mais je crois qu’ils ne sont pas à plaindre; si un de leurs projets a un certain succès à l’intérieur de l’entreprise, il deviendra un projet à part entière et une équipe complète sera redistribuée à cette tâche. De cette façon, le génie est utilisé à son 100%. Ah j’oubliais, pour entrer chez Google, on demande une moyenne générale de A+. Ouch!

Alors maintenant que la technologie devient de plus en plus accessible et abordable aux gens en général, des projets complètement fous et d’autres un peu plus utiles émergent un peu partout à travers l’univers technologique. Et le meilleur dans tout cela est que nous pouvons faire parti de cette aire si nous le voulons vraiment.

Il est évident que cet article ne s’adresse pas seulement au domaine informatique, mais bien à tous les domaines où il y a encore quelque chose à innover ou à inventer. J’ai bien de la difficulté à accepter qu’il y a, encore en 2008, des domaines qui sont, même un tout petit peu, saturés.

Les problèmes que Google a réussi à résoudre étaient le financement et la main-d’œuvre. Peut-être que pour vous ces deux facteurs importent peu. Peut-être que les facteurs qui vous empêchent de créer est dans un tout autre registre et que vous possédez déjà les moyens pour les éliminer. Il suffit de déterminer en premier lieu les obstacles qui vous éloigne d'atteindre vos buts et d'ensuite trouver les méthodes à suivre pour qu'ils deviennent des solutions. Une fois chose faite, la magie peut commencer. Pensez-y bien.

Pour ce qui est de mon côté, soyez patient. Des projets pourraient s’en venir très bientôt, si je trouve un moyen efficace pour contourner les facteurs qui me bloquent le chemin, bien sûr.

Quelques projets dans les laboratoires Google :
Pour visionner la liste complète :

mercredi 9 juillet 2008

Incompatibilité périphérique

Je me suis procuré une version de Windows Vista 64-bits il y a un peu plus d’un an pour mon nouvel ordinateur portable. J’en profite en même temps pour remercier très fortement Microsoft pour fournir gratuitement ce logiciel (et bien d’autres) aux étudiants de facultés et de domaines sélectionnés. Pour les étudiants qui désirent vérifier leurs droits, suivez ce lien.

Alors donc, j’étais préparé mentalement après l’obtention de cette acquisition risquée à ce qu’il y ait quelques petits problèmes de compatibilité entre mes vieux logiciels et ce système d’exploitation qui était, à cette époque-là, une nouveauté.

Depuis la première installation de Windows Vista 64-bits sur mon ordinateur portable, je n’ai pas réussi une seule fois à installer ma bonne vieille webcam Logitech QuickCam Messenger. J’ai pourtant tenté à plusieurs reprises de toutes sortes de façons aussi frivoles qu’elles pouvaient l’être (nouveaux pilotes, nouveaux logiciels, anciens pilotes, anciens logiciels, etc.) de la rendre compatible mais, en vain… Cette semaine, je me suis dit qu’il en était assez et qu’il fallait que j’investigue plus profondément là-dessus.

Mais quelle a été ma surprise d’apprendre qu’il y a 2 modèles différents qui portent le nom QuickCam Messenger de la marque Logitech : une vieille, et une un peu moins vieille… En fait, il y a quand même une petite différence : le numéro de la version du modèle diffère l’un à l’autre (hahaha). Cela se pourrait-il que la séance de brainstorming au développement de certains nouveaux produits ait été très peu concluante?

En résumé, je n’ai jamais réussi à installer la bonne version du pilote… Mais à ce moment-là, je croyais que mon problème était résolu… Malheureusement, non.

J’atteins la page de téléchargement du pilote pour la bonne webcam.
Je sélectionne le bon système d’exploitation : Windows Vista.
Je sélectionne le téléchargement voulu : Microsoft Windows Vista.
Et voilà qu’un beau message, court mais assez concis, me gifle le visage :

« Instructions de téléchargement [...] Cette caméra ne fonctionne pas avec Windows Vista. Reportez-vous à notre liste des nouvelles caméras compatibles Vista. »

Ah oui. M’en procurer une autre serait une bien bonne solution… Beaucoup plus simple que de travailler sur une nouvelle version de pilote pour chacun de leur produit, ça c’est certain…

Alors me voilà maintenant l’heureux propriétaire d’un tout nouveau headset (écouteur et microphone) sur les oreilles. Et ce magnifique jouet est de quelle marque vous croyez? Je me dis qu’au moins, il venait avec un joli choix de couleurs variés et remplacera peut-être ma colère noire en un arc-en-ciel de bonheur… …

Quelques logiciels pour la communication vocale :

TeamSpeak

Ventrilo

Skype


lundi 7 juillet 2008

Ce monde éphémère

Après discussions avec quelques uns (et unes) de mes très cher(e)s lecteur(trice)s, j’ai réalisé que j’allais quelques fois trop profondément dans la technique et jamais assez dans la vulgarisation. Ainsi la prochaine fois, croyez-moi, je ferai mon gros possible pour être un peu plus clair, si possible ;).

Ok… je sais que c’est full 2003 comme sujet, mais je crois qu’il est encore pertinent de parler des webcomics. Je me considère très noobie dans ce monde et je l’assume très bien. Mais à force de lire les blogs branchés, je me rends compte que les fans se tannent, oublient ou perdent rapidement l’étincelle du début. C’est alors que sans aucun avertissement, ma jeunesse reprend surface.

Je me souviens du tout début de la mode Macromedia Flash avec des sites Web tels que joecartoon et jibjab. Mais que sont-ils devenus? Pourquoi ne suis-je plus up-to-date avec ces sites-là? La question est plutôt : pourquoi perdons-nous intérêt à ces sites qui sont mis-à-jour de façon hebdomadaire?

Pourquoi pensez-vous que Coca-Cola tente de réinventer leur recette à environ tous les 2-3 ans avec leurs Coke Vanille, Coke aux cerises, Coke avec lime, et tralala, pour finalement ressortir à chacune des fois leur bon vieux Coca-Cola Classique... Les compagnies de ce genre doivent renouveler leur stock qui marche bien. Et si cela ne fonctionne pas, ressortir un vieux produits qui marchait bien produit le même effet. C’est bête, non? Mais c’est comme ça.

Le Cas Roberge a été brillant là-dessus. Il a compris rapidement que le monde du Web est tout aussi éphémère que les produits en magasins. Il a pris diverses directions sans être étiqueté à un icône avec 2-3 bonne blagues (et là, on en connaît tous au moins un). Il s’est d’ailleurs monté un film! Et il sort très bientôt en plus!

Il faut tout simplement comprendre qu’un produit sur Internet est à tout compte fait la même chose qu’un produit sur les tablettes. Trop de visibilité polluante et peu de renouvellement peut amener le projet sur le bord du précipice. Et s’il continue dans la même direction, la majorité d’entre nous souhaite qu’il fasse un pas de plus pour y tomber.

Vous les bédéistes et humoristes du Web, continuez votre bon travail et surtout, écoutez vos lecteurs/auditeurs… n’abusez pas de votre popularité… on n'aime pas ça.

Webcomics
Perry Bible Fellowship
We The Robots
Last Place Comic
VG Cats
Ctrl+Alt+Delete
Xkcd

Videoblogueurs et +
Le Cas Roberge
Zero Punctuation
Angry Video Game Nerd

jeudi 3 juillet 2008

Sony se plante encore

Ok... Sony a quelques petits problèmes avec leurs Firmwares...

Pour ceux qui ne connaissent pas ce qu'est qu'un Firmware, c'est très simple. Il y a le Hardware (matériel) : c'est ce qui est dur. Il y a également le software (logiciel) : c'est ce qui est mou. Et puis il y a le Firmware (
micrologiciel) : c'est ce qui est mi-dur et mi-mou, donc ferme.

Alors, je reprend.


Allons-y avec un exemple. Un nouveau jeu très attendu sort, genre Assassin's Creed ou bien Metal Gear Solid 4. Pour une raison X ou Y, la PS3 crash sans aucune raison. Pourquoi? Parce qu'il parait que les développeurs de ces jeux (Ubisoft et cie) possèdent les Firmwares
à l'avance (oubliez pas le mi-dur et mi-mou) et développent le jeu en conséquences. On s'entend qu'il y a aucune rétrocompatibilité en développant de cette façon-là! Et là, ils amènent une nouvelle mise-à-jour à la PS3 cette semaine avec un crash assez important... Sony n'a cette fois-ci aucune excuse.

Il existe pourtant plusieurs équipes de tests dans chacune des compagnies informatiques. Mais où est situé le problème? Le problème est chez les programmeurs. Les programmeurs (en m'incluant bien sûr) ont quelques petits problèmes quand est venu le moment des tests. On ne teste jamais assez ses logiciels... Les testeurs dans les compagnies informatiques ne sont pas informaticiens : ils sont testeurs. C'est tout. Donc, ils ne connaissent pas nécessairement l'ampleur des problèmes que peut amener les dernières technologies.


Les programmeurs sont de plus en plus paresseux et la technologie nous l'oblige. Le matériel (consoles, ordinateur, etc) est de plus en plus performant et cela nous amène de moins en moins vérifier notre code. Il prenait autrefois, il a environ 20 à 40 ans, de 1 journée à 1 semaine pour pouvoir compiler le tout et exécuter un logiciel. Maintenant, cela prend maximum de 1 à 5 minutes pour compiler de façon boboche et d'exécuter. Il est évident que nous vérifions de façon beaucoup moins considérable notre code ces dernières décennies.


Alors, c'est frustrant, mais c'est comme ça. C'est rendu tout à fait normal que les applications et les logiciels nous plante au visage sans même nous avertir.


Sur ce, je retourne à mon travail, et j'espère que les testeurs découvrent les bogues que je n'aurais pas pensé.

Mi-dur mi-mou forever!

mercredi 2 juillet 2008

Petites Fantaisies

Dès demain, le Festival Fantasia s'installera dans la grande métropole pour le plus grand bonheur de ses admirateurs. Par contre, je ne comprend toujours pas l'achalendange aussi élevé que comporte l'optention de sièges pour une présentation d'un long métrage indépendant japonais du réalisateur Sion Sono (je sais qu'il y aurait des gens qui me tueraient après avoir dit une chose comme cela).

De mon côté, la sélection annuelle des quelques 2-3 films est d'un simple heureux hasard (et d'un peu de Joannie :P). Comment font-ils (on parle ici des grands fans) pour connaître ces grands artistes de renoms qui sont si peu "populaire" ici. Je suis capable de reconnaitre leur talent, là n'est pas la question. Alors, j'en conclu que la majorité de ces fans pénètre le milieu en sélectionnant de façon aléatoire dans la programmation tout en tombant sur d'heureuses et de désastreuses coincidences.

Alors, j'invite tout le monde à faire de même, car à chaque année, j'en ressort à la fois troublé et très satisfait. De plus, les billets ne sont qu'à 8$ et la sélection est extraordinairement vaste!

J'ai entre-entendu aujourd'hui au bureau qu'un de mes collègues avait fait une sélection de 40 longs et courts métrages... Oui, j'avoue, il y a plus de 200 films présentés à ce festival, mais bon... Si on fait un calcul rapide, cela revient à 280$ pour moins de 20% du festival... (avec bien sûr le forfait de 10 films à 70$) Hummm...

Allons-y avec l'auditeur moyen. On imagine qu'il prend le forfait de 10 films : 70$ + frais additionnels (3,50$ pour chacun). On s'entend que c'est déjà un gros investissement. Alors voilà qu'il y a encore plus de 190 films qui échappe à ta sélection... Ainsi, je repose ma question : comment font les fans de ce genre de festival cinématographique pour reconnaître, parmi l'énorme sélection, des gens comme
Ryuhei Kitamura (oui je sais... l'Internet est la réponse... c'est toujours la réponse).

Pour ma part, j'assiste cette année à 3 longs métrages dont le très attendu
Truffe de Kim Nguyen. J'anticipe déjà la file que j'aurai à prendre part demain en renouvelant ma sélection de mon lecteur MP3 (en fait, mon cellulaire MP3... oui je sais... full out).

J'ai hâte de vous voir sur les lieux!

Ma mini-sélection officielle :
Truffe de Kim Nguyen
Midnight Meat Train de Ryuhei Kitamura
From Within de Phedon Papamichael

Festival Fantasia 2008 - 12e édition
du 3 au 21 juillet 2008

mardi 1 juillet 2008

Déjà Vu

Comme nous le savons tous quand même assez bien, la création musicale peut être assez complexe. Quelquefois, nous reconnaissons des airs ou tout simplement des clones d’une pièce d’un artiste différent. L’inspiration extrême peut être une étape tout à fait normale, si l’on n’abuse pas de la sympathie de notre muse bien sûr.

Pour en venir au sujet principal de mon post, je vous présente ainsi quelques airs connus et un peu moins connus qui on été inspiré d’un autre artiste. Vous allez voir, cela peut en surprendre quelques uns.

Red Hot Chili Peppers –
Dani California VS.
Tom Petty And the Heartbreakers –
Mary Jane’s Last Dance

Jet –
Are You Gonna Be My Girl VS.
Iggy Pop –
Lust For Life

The Cat Empire – Waltz (pas trouvé de lien... mais disponible dans iTunes) VS.
Pixar –
Boundin’

Spécial The Red Album (hihi! Une dernière fois)
Weezer –
Thought I Knew VS.
Cornershop –
Brimful of Asha

Weezer – Cold Dark World VS.
Cat Power –
Cross Bones Style

Et là je pousse à la limite.
Weezer –
Automatic VS.
The Raconteurs (le riff de guitare de Jack White)

Weezer –
Everybody Gets Dangerous VS.
Red Hot Chili Peppers (pour le style : drum voix et guitare)

Et là, c’est officiel, je ne parle plus jamais du Red Album de Weezer.
Les artistes qui ont inspiré Weezer sont en soi de très bons artistes. Cela prouve l’excellence de l’album non?

Paul Piché serait fier de moi. :P

Singin’ Weezer

Après plusieurs excellentes écoutes du nouvel (de moins en moins) album de Weezer, The Red Album, une évidence absurde m’a sauté au visage. Avez-vous remarqué les références abusives du terme « sing » et du terme « song » au cours des six (6) premières pistes? À moins de posséder un don remarquable à l’égard des petites choses insignifiantes qui nous entoure tout comme moi… je doute que non.
Alors voici mes petites trouvailles :

1- Troublemaker
“I picked up a guitar
What does that signify?
I'm gonna play Some heavy metal riffs”

“I'm gonna be A rock star”

“Why I am so unlike
The singers In the other bands”

2- The Greatest Man That Ever Lived
“All the girls get up when I sing, yeah”


3- Pork and Beans
“Everyone likes to dance to a happy song
With a catchy chorus and beat so they can sing along”

4- Heart Song
Sang a song

“Eddie Rabbitt sang

“These are the songs
These are my heart songs

“These are the songs
I keep singin'

“A record of our own
The song come
On the radio
Now people go
This is the song

5- Everybody gets Dangerous
“(Burnin' amplifiers and mic stands)”

6- Dreamin’
“I am singing
My voice is ringing
I can sing so loud”

Total : + 15 références

Merci à vous une dernière fois pour votre retour inattendu!
Merci!